Les premiers pas en France de Nick Kellogg

Les premiers pas en France de Nick Kellogg

Joueur star de l'université d'Ohio, Nick Kellogg, cet arriere-shooteur passé par la Géorgie et la Pologne, a posé ses valises sur les terres roannaises, en remplacement d'un joueur bléssé. Nick nous livre ses premiers ressentiment sur son arrivée à la Chorale de Roanne. 

       1. Parle nous des jours précédents ton arrivée à Roanne?

Avant d’arriver ici, je m’entrainais chez moi avec un coach perso et je jouais avec l’équipe universitaire proche. Un peu plus tôt dans l’été j’avais refusé quelques propositions d’équipes potentielles car j’espérais obtenir une offre dans une division plus compétitive.

       2. D’après toi, quelles sont les différences principales entre le basket en France et en Pologne ?

Je pense que dans les deux cas le niveau est élevé et compétitif. Ici, en France c’est un peu plus physique.

       3.  Que penses tu de la pro B?

Je pense que la pro B est une division très forte avec de bons joueurs, de bons coachs et de bonnes équipes.

       4. Que penses tu de ton équipe?

L’équipe de Roanne est très forte. Un bon groupe de joueurs qui ont du talent et qui travaillent dur. Le staff est bien structuré et intelligent.

      5. Que peut espérer Roanne cette saison ?

Je pense qu’ils peuvent espérer aller très loin cette saison en playoffs.   

      6. Que fais tu en dehors du basket quand tu as du temps libre?

J’aime lire, regarder des films et visiter la ville où je me trouve.

      7. Quels sont les meilleurs et pires souvenirs de ta carrière ?

Le meilleur souvenir est d’avoir emmené mon équipe de Géorgie jusqu’au deuxième tour des playoffs alors que personne ne nous attendait là. Je n’ai pas de pire souvenir, j’essaye de tout tourner en une expérience positive ou en une leçon à retenir. Par contre, faire partie d’une équipe qui perd est vraiment dur.

      8. A quoi ressemble une journée type pour toi en pleine saison?

Je me réveille et je mange puis je vais à l’entrainement. Ensuite je rentre et je fais la sieste. Ensuite je retourne m’entrainer avant de rentrer chez moi pour préparer le repas et parler avec ma famille.

     9. Comment se passe ton adaptation à la vie en France ?

Je m’adapte plutôt facilement. Cette saison est ma 4ème en Europe donc ça facilite les choses.

 

                                                                                                                                                                                   J.C